–bIn C lautet diese Passage: oder, so ir ainer oder mer bey solcher handlung nit sein mochten, die anderen vier, drey oder zwen aus inen.

Jeder der ursprünglich vorgesehenen fünf ksl. Kommissare erhielt eine Abfertigung zum RT. Siehe dazu den AV in C: Item mutatis mutandis an Hg. Friderich, item an Gf. zu Furstenberg, item an Gf. zu Montfort. Der ksl. Vizekanzler Dr. Johann von Naves ist bei dieser Aufzählung ausgelassen, erhielt aber sicher auch eine Abfertigung als ksl. RT-Kommissar.

Die Abfahrt der Schiffe des genuesischen Admirals Andrea Doria verzögerte sich wegen Schlechtwetters noch viel länger als Granvelle im Nov. 1542 angenommen hatte. Am 7. Dez. 1542 äußerte er in einem Schreiben aus dem spanischen Ort Colibre gegenüber Karl V. die Befürchtung, dass die von ksl. Seite für den RT vorbereiteten Schriftstücke erst nach Ende der Reichsversammlung in Deutschland ankommen würden: Que je doubte autant ma venue en Allemaigne et que les commissions, lettres et pièces pour la diète, que se devoit tenir le mois passé, y arrivant icelle diette sera desia par adventure despartie et plus difficille de treuver ceulx avec qui il fauldra négocier et y mectre plus de temps. D’avantaige que comme qu’il en soit l’on peult tenir pour certain que votred. Mté n’aura autre ayde de l’Empire, soit en général ou particulier, contre France ny Clèves que moyennant le florin, et que ce sera beaucoup de povoir excuser ce que le roy des Romains et lesd. estats prétendent d’estre aydez de votred. Mté contre le Turcq en Hongrie. Et aussi ne fault-il riens actendre dud. Sr roy des Romains, comme votred. Mté sceit bien les affaires et nécessitez et qu’il sera assez en besogne ou coustel dud. Hongrie, soit pour offension ou défension. Et quant aux Pays d’embas ilz sont grandement endommagez et en arrière de la dernière guerre et n’y aura riens que les esmeuve et encouraige plus contre lesd. ennemys que de veoir votred. Mté passioné et puissante contre eulx [...]. In: Wien HHStA, Belgien PA 48/1, fol. 15r–16v, hier fol. 15rv (Ausf. z.T. chiffr., marg. dechiffr.).

Aus B, in A fälschlich: voulssiez.

Aus B, in A fälschlich: puissions.

Das Kredenzschreiben Kgn. Marias für die oben genannten Gesandten für ihre Mission auf dem RT in Nürnberg, dat. Löwen, 1542 Okt. 27, in: Wien HHStA, MEA RTA 8/Konv. 1, fol. 216rv (Ausf. mit Siegel). Regest gedr. bei: L. Groß/R. von Lacroix, Urkunden, Bd. 1, Nr. 285, S. 192. Kg. Ferdinand gab seiner Schwester Maria zu verstehen, dass er ihre Gesandten auf dem RT in allen Belangen unterstützen werde, Nürnberg, 1543 Jan. 20, in: Wien HHStA, Belgien PA 11/4, fol. 142r–143v (Ausf. mit Siegel): Vous avez, Mme, en tous advénemens très bien advisé d’envoyer voz commissaires en ceste diette à la fin contenue en vosd. lettres, lesquelz se sont trouvez devers moy, me communicquant les affaires de leur charge, lesquelz, Mme, favoriseray austant que les miens propres, et pour la bonne direction d’iceulx presteray à vosd. commis toute ayde, faveur et assistence possible.Kgn. Maria stellte es Granvelle anheim, falls er die Dienste Weirichs von Kriechingen in Nürnberg nicht benötigen würde, diesen in die Niederlande zurückzusenden. Das ist ihrem Schreiben an Granvelle aus Gent vom 28. Jan. 1543 zu entnehmen: Au surplus pour ce que le Sr de Créhenges, qui est commis avec le conseillier Viglius à la présente journé de Nuremberg, se plainct fort de la chiereté qui est aud. Nuremberg et que à votre venue illecq il servira bien peu, j’avoye advisé, s’il vous semble convenir, qu’il puist retourner au logis en retenant avec vous led. Viglius, lequel, comme j’espère, vous pourra faire bon service, vous requérant, que s’il vous semble qu’il n’est requis laisser led. de Créhenges par delà, le renvoyer pour l’employer à faire service au fait de la guerre. In: Wien HHStA, Belgien PA 35/2, fol. 40r–47v, hier fol. 46v–47r (Ausf. z.T. chiffr. und dechiffr.).

Die umstrittene Frage der Türkenhilfe des Burgundischen Kreises taucht schon vor dem RT 1543 als Thema in der Korrespondenz zwischen Kg. Ferdinand und Kgn. Maria auf. So gab Maria ihrem Bruder Ferdinand aus Namur am 18. Sept. 1542 zu verstehen: Quant à ce que votre Mté m’a fait admonester de vouloir furnir et satisfaire à la contribucion de l’Empire pour le contingent du cercle de Bourgoingne, tant pour le contentement des estatz de l’Empire que pour non donner occasion à autres de refuser leur contingent, certes, Monsr, je vouldroye de tout mon pouvoir bien satisfaire à vostre admonicion pour en mon endroit assister à la résistence contre le Turcq [...]. Mais quelque bonne volunté que j’ay, je ne voye conduisable de induire les pays de par deçà à vouloir consentir à lad. contribution, n’est par l’ordonnance de sa Mté et le respect que les subgectz ont à icelle, qui ne sera sans grant mistère en tant qu’ilz n’ont jamais contribué avecq l’Empire. [...]. In: Wien HHStA, Belgien PA 42/1, fol. 36r–39v, hier fol. 36rv (Kop.), teilw. in: L. Groß/R. von Lacroix, Urkunden, Bd. 1, Nr. 282, S. 188–191. Kg. Ferdinand antwortete seiner Schwester aus Wien am 17. Okt. 1542: Et quant à ce que désirez savoir que c’est du cercle de Bourgoigne, je vous envoie ici joint copie de ce qu’en est contenu ès régistratures de l’Empire, par où pourrez veoir ce qu’en peult estre. Et pour ce sera, Mme, besoing que à la prouchaine diette de Nueremberg les dépputez que y envoierez de votre part soient bien instruictz et informez, comme en cest endroit ilz se auront à conduyre, car c’est ung point à quoy les estatz de l’Empire ont tousjours persisté, comme sans doubte feront encoires en lad. diette plus que jamais. Et je tiendray voulentiers main en tant que en moy sera que vosd. commis se puissent raisonnablement accorder avec lesd. estatz, tant pour le respect de la guerre avec France que autres considérations contenues en vosd. lettres. In: Wien HHStA, Belgien PA 11/3, fol. 130r–131v, hier fol. 130r (Ausf. mit Siegel), teilw. gedr. in: L. Groß/R. von Lacroix, Urkunden, Bd. 1, Nr. 284, S. 192.