Deutsche Reichstagsakten, Jüngere Reihe. Reichstagsakten unter Kaiser Karl V., XI. Band. Der Reichstag zu Regensburg 1541 bearbeitet von Albrecht P. Luttenberger, für den Druck vorbereitet von Christiane Neerfeld
Anmerkungen
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Vgl. Bgm. und Rat von Speyer an Bgm. und Rat von Straßburg, 1541 September 24, Speyer StadtA, 1 A Nr. 237, unfol. (Reinkonz.): Auf dem Regensburger Städtetag haben die Städte beschlossen, dass Frankfurt, Speyer und Straßburg vermöge damals gefertigter instruction umb gnedige nachlassung und abschaffung der besatzunge, so sein fstl. Gn. uff unser burger guter, in derselben irer fstl. Gn. furstenthumb gelegen, verruckter zeit neben iren underthanen legen lassen, bei Kf. Ludwig von der Pfalz anhalten sollten. Die Gesandten der drei Städte sollten am 1. Oktober in Heidelberg eintreffen. Die Stadt Speyer sollte aber zunächst in Erfahrung bringen, ob der Kurfürst zu diesem Termin in Heidelberg anwesend sein wird, und, wenn nicht, einen anderen Termin, an dem der Kurfürst daheim sein wird, benennen. Gegenwärtig ist der Kurfürst noch auf der Jagd, und es ist nicht anzunehmen, dass er am 1. Oktober daheim sein wird. Wollen wegen eines neuen Termins Erkundigungen einziehen und sich dann weiter mit Frankfurt und Straßburg verständigen. Bitten, sich dann auf ihr weiteres Ansuchen an der vorgesehenen Werbung zu beteiligen. Geben sambßtags nach Mathej apostoli anno etc. 41. In gleichem Sinne wandte sich Speyer auch an die Stadt Frankfurt, vgl. Bgm. und Rat von Speyer an Bgm. und Rat von Frankfurt, Speyer, 1541 September 24, Speyer StadtA, 1 A Nr. 237, unfol. (Reinkonz.). Vgl. außerdem Bgm. und Rat von Speyer an Bgm. und Rat von Straßburg, 1541 Oktober 22, Speyer StadtA, 1 A Nr. 237, unfol. (Reinkonz.): Haben erfahren, dass Kf. Ludwig von der Pfalz um Martini wieder in Heidelberg anzutreffen sein wird. Bitten, ihre Gesandten zu dem auf den 12. November 1541 nach Speyer ausgeschriebenen Städtetag so abzufertigen, dass vor dessen Beginn die vorgesehene gemeinsame Werbung Speyers, Frankfurts und Straßburgs bei Kf. Ludwig ausgeführt werden kann. Die Gesandten der drei Städte sollten am Montag, den 7. November 1541 in Heidelberg eintreffen, um dann am folgenden Dienstag oder einem der folgenden Tage ihren Auftrag auszuführen, damit die Antwort des Kurfürsten dem Städtetag mitgeteilt werden kann. Geben sambßtags nach Luce evangeliste anno etc. 41.Zum Problem der Besteuerung des Besitzes städtischer Bürger in fremden Territorien vgl. auch die Gutachten der Nürnberger Juristen, Nürnberg, 1541 Juli 9, Nürnberg StA, Nürnberger Ratschlagbücher 11, fol. 156v–162v und Schmidt, Der Städtetag, S. 204–209.
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In der Überlieferung Memmingen StadtA, A Bd. 317, unfol. (Kop.) folgt danach: Und nachdem sich die gesandten der stet Franckfurt und Costentz bei gemainen protestierenden stenden des abschids gegenwertigen reichstags, auch der ksl. Mt. declaration halb vernemen lassen, das sy die bede, nemlich den reichsabschid und beschehen declaration, auß mangel irs bevelchs und anderm mer ursachen nicht anzunemen noch zu bewilligen wisten, sonder das sy das alles iren herrn und obern hindersich pringen mogen, die sich darauf aller gepur wurden zu halten wissen, so haben sy derhalben gebetten, inen ain solhs zu glaubwirdigem schein und urkundt disem abschid anzuhencken.
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Dazu marg.: Ledit Srde Praet emportera copie auctenticque du traicté ratiffié par le roy des Romains et tiendra main devers la royne et ceux des finances, afin que l’on s’asseure des cappitaines et soient retenuz pour s’en pouvoir servir, si l’on en a besoing, et que ladite royne y employe jusques à 1.200 florins d’or par an, qu’est la somme, avec laquelle ledit lantgrave a dit, que l’on s’en pouvoit asseurer.
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Dazu marg.: Ledit Sr de Praet scait tout ce que y a esté négocié et sera adverty du recès et touchant la lighe défensive catholique et des intelligences particulières, que l’empereur et le roy auront prinses. Et si ledit Sr de Praet part avant la conclusion de ceste diète l’on luy envoyera copie dudit recès et mémoire de tout ce que se fera d’icy alors.
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Dazu marg.: L’on tiendra main, s’il est possible d’avoir commis des estatz de l’empire pour entendre à la vuydange du différend et que toutes procédures et exécutions de la chambre impériale cessent cependant. Mais tousiours semble il, que ce sera très bonne euvre [sic!] d’appoincter, s’il est possible, avec la vefve et héritiers de feu Denys Vrentz.
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Dazu marg.: Aussi scait ledit Sr de Praet ce qu’est passé jusques à maintenant touchant le duc de Clèves et entendu ce que s’en fera ausurplus avant son partement. Et si aprèz survient d’avantaige, il en sera adverty joinct ce que sa Mté luy a déclairé et déclairera de son intention touchant ledit Gheldres.
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Dazu marg.: Ayant regard aux termes, que a tenu ledit duc de Clèves jusques à maintenant et èsquelz il persiste, et ce que sa Mté a déclairé, qu’elle le tient pour rebelle, il semble, que la royne le doibt délaisser pour tel si longuement qu’il demourera en ceste obstination. Et quant à ses subgectz de Clèves et de Julliers qu’elle ne innove riens de la manière de vivre et voisinance, qu’a esté jusques à ores, sinon que l’on tienne regard en leur endroit, afin qu’ilz ne facent chose préiudiciable à sa Mté et ses pays d’embas. Et quant à ceulx de Gheldres que l’on entretienne avec eulx bonne voisinance et que l’on attire leur voulenté envers sa Mté par tous les moyens, que convenablement sera possible, demonstrant tousiours espoir, qu’ilz se reduyront à l’obéissance de sadite Mté, selon que par tout droit et raison ils sont tenuz, et que ce faisant tout le passé s’oblyera et les tiendra sadite Mté comme bons subiectz et les entretiendra en leurs franchises, libertéz et coustumes.
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Vgl. Karl V. an Kgn. Maria, 1541 Dezember 29, Wien HHStA, Belgien PA 31/3, fol. 83r–98v (Ausf.): [...]. Quant à l’envoy du secrétaire Despleghen devers le duc de Holsten vous aves fait très bonne euvre et ny à que redire en son instruction et fault espérer, que, s’il use bien d’icelle, que ledit duc de Holsten passera la prorogacion de la tresve et se détiendra de riens mouvoir alencontre de mes pays de pardelà. Et en ce cas sera requis, que quant à la prorogacion bailler le plus de raison et contentement, que possible sera, à notre neveu, le duc Frédérick palatin, pour luy effacer les suspicions que, comme qu’il soit, il aura tousiours de toutes prorogacions des tresves, que l’on fera avec ledit duc de Holsten. Et tant plus sera il néce[ssaire], pour ce que mondit ambassadeur en France m’a averty, que ledit duc a puis naguères envoyé personnage exprès devers ledit roy de France, duquel il n’avoit encores sceu entendre la charge. Et combien qu’il fault supposer, que ce ne soit à maulvaise fin, toutesfois fait il à craindre, que l’extrême nécessité, ou se retrouve ledit duc, ne le contringnist faire quelque chose davantaige, que son devoir et honnesteté requierent. Et m’en fait tant plus doubte ce qu’il ne vous a jamais fait semblant de l’assignation ny payement de la pension, que luy accorday [dernièrement] à Reghensbourg. Et pour ce sera bien que le faictes tousiours satisfaire de sadite pencion et que luy escripvez souvant et encoires l’envoyez quelque fois visiter affin de par ce moien l’entretenir en meillier [= meilleur] dévotion et mieulx scavoir de ses nouvelles et entendre son intencion. Or s’il vous semble bon, pourrez encharger à celluy, que envoyerez devers luy, de en passant toucher dextrement ung mot audit duc touchant ledit envoy en France pour entendre, s’il le confessera, et [l’occasion?], que sur ce il dira, et aussi affin qu’il soit plus retenu et entende, que l’on scet toutes pratiques et que les françois mesmes ne les scavent tenir secrètes. [...]. [...?], le 29. [du] décembre 1541. Vgl. auch Kgn. Maria an Karl V., Brüssel, 1542 April 2, Wien HHStA, Belgien PA 30/4, fol. 18r–26r (Konz.): Seit längerem herkömmliche Pension Pfgf. Friedrichs: 5.000 fl. in Gold. In Regensburg während des Reichstages bewilligte zusätzliche Pension: 8.000 carolus.